L’endométriose est une maladie complexe et mystérieuse. Si l’endométriose a été découverte il y a maintenant plus de 200 ans. La recherche ne s’y est intéressée qu’il y a quelques années. La recherche a un importance capitale. En effet, elle vise à mieux comprendre les mécanismes de la maladie, améliorer la prise en charge, les traitements,… Pour les femmes atteintes d’endométriose, la recherche représente un véritable espoir.
L’endométriose, une maladie encore trop méconnue
L’endométriose est une maladie qui touche plus d’une femme sur 10 en Belgique. Il n’existe à ce jour aucun traitement qui permet d’en guérir. Cette maladie chronique connait un retard de diagnostic de 7 ans.
Si elle connait une meilleure information auprès des femmes et des médecins. La recherche reste un espace d’espoir quant à la connaissance de la maladie, son meilleur diagnostic mais également ses traitements.
L’importance de la recherche
Beaucoup d’espoir résident dans ces recherches pour les femmes atteintes de cette maladie.
La recherche aujourd’hui s’attèle à différents points :
Mieux connaitre la maladie et mieux comprendre son mécanisme, sa naissance, sa propagation, ses stades, la récidive, mais également trouver des meilleures solutions pour améliorer le diagnostic, le dépistage et les traitements.
La recherche est essentielle pour identifier les gènes présents dans la maladie.
Les thèmes de recherche des différentes groupes
Il y a des groupes de recherchent qui visent à étudier les facteurs génétiques et épigénétiques qui joueraient un rôle dans le développement de la maladie.
Mais également des recherches pour améliorer la chirurgie et limiter les récidives par des nouvelles techniques.
Il y a également des recherchent sur l’immunité. Et des groupes de recherchent sur la prise en charge holistique de la maladie.
Aujourd’hui, l’endométriose devient plus connue mais elle est encore trop souvent mal prise en charge. La recherche va aider les médecins à plusieurs niveaux. Mais cela prend du temps. Dès lors, il convient d’envoyer les femmes qui semblent regrouper les symptômes de la maladive vers des centres spécialisés.